La Médiation familiale c’est …

IL EST SOUVENT DIFFICILE DE PRENDRE DU RECUL FACE À UNE SITUATION DE CONFLIT FAMILIAL, DE GRAND CHANGEMENT OU DE RUPTURE

Céma­for pro­pose un accom­pa­gne­ment en média­tion fami­liale appro­prié à la res­tau­ra­tion du dialogue.

Le média­teur tiers qua­li­fié, impar­tial et non jugeant, garant du cadre, accom­pagne et sou­tient l’expression de cha­cun et la recherche de solu­tions co-construites.

Dans quelle situation ?

♦ Quand un couple envi­sage de se sépa­rer, de divor­cer, que des parents se séparent ou sont déjà sépa­rés, il faut pou­voir se par­ler pour orga­ni­ser, ajus­ter des déci­sions concer­nant l’entretien et l’éducation des enfants : les temps de prises en charge, l’autorité paren­tale et la contri­bu­tion finan­cière, la répar­ti­tion des biens, ou éla­bo­rer une conven­tion d’ac­cord parentale…

♦ Quand le lien entre les grands-parents et leurs petits-enfants sont dis­ten­dus, deve­nus impos­sibles au regard du conflit ou des dif­fi­cul­tés de com­mu­ni­ca­tion entre des grands-parents et des parents : des solu­tions sont à construire pour que la situa­tion soit viable pour cha­cun et que le conflit ne nuise pas à l’enfant.

♦ Quand des déci­sions doivent être prises au sujet d’un parent âgé : ce der­nier et ses enfants, la fra­trie, ont besoin d’échanger, de s’entendre, de se mettre d’accord sur les déci­sions à prendre.

♦ Quand un parent et un jeune adulte sont en rup­ture de com­mu­ni­ca­tion ou en dif­fi­cul­té de com­mu­ni­ca­tion pour pou­voir s’entendre sur les besoins de chacun.

♦ Quand le quo­ti­dien entre un parent et un ado­les­cent n’est plus vrai­ment viable, quand tout est conflit, parce que des ajus­te­ments sont néces­saires en termes de place et de communication.

♦ Et dans bien d’autres cas, les liens fami­liaux étant multiples.

La famille en média­tion fami­liale est enten­due dans sa défi­ni­tion large et éten­due. Elle est éta­blie par les liens qui sont défi­nis par la loi (paren­té ins­ti­tu­tion­nelle, sym­bo­lique), mais aus­si par cha­cun (réelle et imaginaire).

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Où ?

Céline Anta­ra­kis, média­trice fami­liale diplô­mée d’État vous rece­vra sur rendez-vous : 
ALÈS Céma­for, 33, bou­le­vard Ana­tole France. 
ANDUZE Mai­son des Familles « A petit pas », Les Jar­dins de la Fila­ture / Bâti­ment C 19 rue du Luxembourg 

Qui peut demander une médiation familiale ?

♦ Il est pos­sible de faire la demande seul. Il est alors envi­sa­gé avec le média­teur de faire la pro­po­si­tion à l’autre.

♦ Il est pos­sible de s’en par­ler au préa­lable, et de faire d’ores et déjà la démarche ensemble.

♦ La média­tion fami­liale est par­fois pro­po­sée aux per­sonnes par un autre pro­fes­sion­nel (tra­vailleur social, méde­cin, thé­ra­peute, avo­cat, magistrat…).

Dans tous les cas la média­tion fami­liale est une démarche volon­taire, où cha­cun, recon­nu comme res­pon­sable et auto­nome, doit pou­voir s’en­ga­ger libre­ment dans ce processus.

Le média­teur fami­lial prend le temps de véri­fier avec cha­cun que la média­tion est appro­priée à la situa­tion. En par­ler, c’est déjà envi­sa­ger un chan­ge­ment possible.

Combien ça coûte, et qui paye ?

L’entretien d’information (20 min) est gratuit.

Les entre­tiens indi­vi­duels ou com­muns (1 h /1 h 30), qui peuvent faire suite à l’entretien d’information sont payants.
Sur les entre­tiens com­muns, cha­cun paie pour lui-même.
Le coût, fonc­tion des reve­nus de cha­cun, est le coût par per­sonne et par entre­tien (Voir tableau des tarifs).

Dans le cas d’une média­tion fami­liale ordon­née par un juge, les per­sonnes béné­fi­ciant de l’aide juri­dic­tion­nelle sont dis­pen­sées de paiement.

Autre prise en charge ins­ti­tu­tion­nelle pos­sible : selon les situa­tions dans le cadre d’une prise en charge par le Pro­gramme de réus­site édu­ca­tive du Pie­mont Céve­nol et de la ville d’Alès, le coût est de 1 € par per­sonne et par entre­tien (s’informer auprès de l’association).

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